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 hier kommt die sonne

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MessageSujet: hier kommt die sonne   hier kommt die sonne EmptyJeu 8 Oct - 20:55

Brunhilde Heilwig Haßmann
A robin redbreast in a cage puts all Heaven in a rage


Je suis née à Berlin en 1913. Mon arrivée à Londres a eu lieu en 1936, alors que les Nazis commençaient à créer des lois de plus en plus antisémites. Cette ville me plait sans vraiment me plaire car je ne m'y sens pas vraiment chez moi. Depuis le début de la guerre, ma vie a changé, je suis désormais Home Front, car dans la vie je suis violoniste au royal ballet. Côté amours, je suis célibataire, que voulez-vous, c'est ainsi. Ma tête ? Il s'agit de Amanda Seyfried par Aud

Depuis son début, la guerre a-t-elle affecté ta vie directement ?

C'est bien avant la guerre que la vie de Brunhilde a été affectée. D'origine juive et Berlinoise, autant dire que cela fait quelques temps que cela ne fait pas bon ménage. Face aux persécutions, aux discriminations, ses parents l'ont envoyé en Angleterre, elle et sa soeur, pour quitter cet enfer. Le billet était tellement cher qu'ils n'ont pas pu venir, restant dans cette ambiance malsaine et maintenant la guerre à éclater. Sans donner de nouvelle. Brunhilde ne cesse de lire le journal et d'écouter la radio mais rien. Elle n'ose pas écrire ou envoyer de télégramme, la peur des représailles et de ce qui pourrait arriver.

Es-tu pour la victoire de la Grande Bretagne, ou préfèrerais-tu voir ce conflit s'arrêter au plus vite, avant qu'il ne s'aggrave, quitte à voir la Grande Bretagne y perdre beaucoup ?

Même si ce pays a tout donné à Brunhilde et sa soeur, qu'il les a accueilli à bras ouverts malgré qu'elles soient Allemandes mais la jeune femme ne veut qu'une chose, repartir pour l'Allemagne et savoir comment va sa famille. Elle ne pense qu'à ça mais si elle fait pour ne rien montrer à sa petite soeur. Tout ce qui compte pour elle c'est qu'elle aille bien et que la Grande Bretagne gagne cette guerre. Au plus tôt sera le mieux, pour ça Brunhilde en est convaincue. Elle ne peut rien faire pour accélérer les choses. Car elle sait ce qui risque de se passer si l'Angleterre perd cette bataille.

Quel est ton but dans la vie? Pourquoi es-tu à Londres ?

Le but de Brunhilde maintenant est de survivre et de s'occuper au mieux de sa petite soeur. Et d'attendre que la guerre se termine. Elle est à Londres pour se réfugier, pour fuir le régime fasciste nazi. Ses parents disaient qu'elle allait fuir la terreur mais pas sûre que ça soit plus rassurant de ne pas savoir, d'attendre des nouvelles, des bonnes nouvelles mais non rien... L'attente est la pire chose, ses parents ne l'imaginaient sûrement pas ainsi. Elle sait qu'elle doit vivre sa vie, repartir de zéro et protéger sa petite soeur mais tirer un trait sur son passé, là d'où elle vient est bien plus difficile que l'on pourrait le croire. Mais pour ce qu'on fait ses parents pour leurs deux filles, elle sait qu'elle doit se battre et avancer. Et Londres est là pour ça. Pour donner une seconde chance à deux filles juives.




Derrière l'écran


Je m'appelle sayo et j'ai 24 ans. Je suis en rédactrice web et je serais là tous les jours si tout va bien  perv . J'ai trouvé le forum via PRD. D'ailleurs je le trouve super génial mais j'ai hâte de RP  lost . A bientôt en RP!


Dernière édition par Brunhilde Hassmann le Jeu 8 Oct - 23:03, édité 10 fois
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MessageSujet: Re: hier kommt die sonne   hier kommt die sonne EmptyJeu 8 Oct - 20:55

Ta Biographie
9. Dezember 1913


   
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Pour comprendre la vie de Brunhilde, il faut d’abord connaitre celle de ses parents. Anna Spons, originaire de la Rhénanie, avait toujours rêvé de danser sur les planches du ballet de Berlin, elle le savait, elle y arriverait. C’était indéniable, la jeune femme était très douée, elle avait les nombreuses années de formation derrière elle mais en plus de cela, elle avait un talent, une grâce innée qui inondait la salle quand elle dansait. Il ne fallut pas longtemps pour qu’elle quitte sa région natale et qu’elle soit recrutée par le ballet de la capitale. Quelques années avant l’arrivée d’Anna, un nouveau chorégraphe devenu ensuite directeur du ballet était également arrivé, un certain Werner Haßmann. Quelques saisons après que la jeune ballerine rejoignit la compagnie, celle-ci et Werner se marièrent. Pour beaucoup de monde, leur couple était ce qu’il y avait de plus évident, il n’en aurait pas pu être autrement. Ils étaient faits l’un pour l’autre. Et malgré ce qu’on peut croire, qu’une ballerine doit rester aussi sec qu’un fil de fer, il ne fallut pas attendre très longtemps pour que les jeunes mariés deviennent parents. C’était un jour de pluie, ce 9 Décembre 1913. Aucun habitant de Berlin n’aurait mis le nez dehors s’il avait eu le choix. C’était un de ces jours où on ne souhaite pas sortir, préférant de loin rester dans la chaleur de ses draps. Tôt dans la matinée, Anna avait senti des contractions et Werner s’était dépêché de l’emmener à la clinique la plus proche. Enceinte de bientôt 9 mois, il ne fallait pas être devin pour comprendre que l’enfant qu’attendait la jeune Allemande allait pointer le bout de son nez. Après plusieurs heures d’attente pour Werner et de souffrance pour Anna, ce n’est pas un mais deux bébés qui agrandirent la famille Haßmann. Alors qu’Anna se délivrait de son fils, Ulrich, les médecins lui annoncèrent qu’un deuxième bébé allait arriver. Quelques minutes après la naissance d’Ulrich, c’est une petite fille qui se mit à crier. Brunhilde était alors née.

Avoir des jumeaux, ce n’était pas ce qu’avaient vraiment prévu Werner et Anna mais d’avoir un garçon et une fille en bonne santé, c’était tout ce qu’ils comptaient pour eux. Quand les enfants étaient encore bébés, les jeunes parents aimaient s’imaginer la vie de leurs enfants, évidemment porter sur l’univers du ballet, de la musique ou des arts. Pour Brunhilde se fut un peu le cas. Quand les deux enfants Haßmann avaient fini l’école, ils passaient le reste de leur après-midi dans les coulisses et couloirs du ballet de Berlin. Leur père travaillant et leur mère répétant, il était donc logique qu’ils se retrouvèrent là. Pour Ulrich c’était un moyen de se balader, de voir plein de choses, surtout le bureau de papa mais pour Brunhilde c’était différent. La seule place qu’elle voulait toujours avoir, c'était au milieu des musiciens à écouter, regarder. C’est avec les accords de Mozart, Vivaldi et de tant d’autres que Brunhilde grandit. Un peu avant l’âge de cinq ans, la petite fille demanda à ses parents si elle pouvait apprendre le violon, un des instruments les plus répandus dans la musique classique. C’est évidemment sans hésitation que Werner et Anna inscrivirent Brunhilde au solfège où elle put apprendre les joies de la lecture de partition, de l’histoire de la musique et occasionnellement de pouvoir toucher un violon. Mais malgré la difficulté la jeune fille n’abandonna jamais, le violon était devenu une vraie passion. Quant à Ulrich, lui c’était plutôt le sport, le handball surtout. Bien qu’ils aient des centres d’intérêt différents, Ulrich et Brunhilde s’entendaient à merveille. Très proches l’un de l’autre, il n’était pas question que qui que ce soit s’interpose entre le frère et la sœur. Et quand la deuxième fille et dernière enfant naquit, c'était encore pire. Personne ne pouvait toucher la petite dernière sans en découdre avec le grand frère. La vie de la jeune Allemande était des plus banales, travaillant son violon tous les jours, allant à l’école tous les matins, bien que ça ne l’intéressait pas réellement. Elle préférait de loin être au ballet de Berlin à écouter les plus beaux morceaux de musique.

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Mais la vie ne tient qu'à un fil. Les étoiles jaunes, les lois de Nuremberg, la jeune femme eut du mal à saisir l'intérêt de tout cela, cette division qui se créer au sein même de son pays, de séparer les juifs et les allemands. Elle était d'origine juive par sa mère mais elle ne sentait pas différente que les autres allemands. Wir müssen die Juden ausrotten. Mais cette inscription lui fit froid dans le dos. Elle était avec sa mère à faire les courses quand elles étaient montrées du doigt. Et puis l'Allemagne partie à vau l'eau. Avec ces lois de Nuremberg, des officiers sont entrés un jour dans le ballet, demandant à Anna de quitter le ballet, elle ne pouvait plus danser ni même donner des cours de danse à des ballerines allemandes. En tant que juive, elle n'avait plus rien à faire à ce poste. Elle devait abandonner et toute sa vie. On expliqua à Werner que c'était la loi et qu'il ne pouvait plus embaucher aucun juif. Elle qui avait dansé et illuminé de nombreuses saisons et sa fille qui se donnait beaucoup de mal pour se mettre au niveau étaient jetées dehors comme un chien. On les regardait comme de la vermine, comme des insectes qu'il fallait vite écraser. Autant dire que c'est la sensation la plus désagréable possible. Tous leurs amis qu'ils avaient toujours apprécié jusque là ne firent rien. C'était à peine s'ils les regardaient à présent. Les enfants et la mère portaient l'étoile jaune, le signe de la honte, le signe de la méfiance. C'est à partir de ce moment que Werner savait qu'il devait agir et vite. Il échangea de nombreuses semaines avec un ami anglais, directeur du Royal Ballet de Londres. Depuis des mois il lui parlait de la tension en Allemagne et maintenant des lois antisémites. Werner avait peur pour ses enfants, pour ses filles surtout. Il essaya alors de prendre trois billets pour l'Angleterre mais le prix était exorbitant, il n'aurait jamais pu payer pour toute sa famille et fut désemparer de voir qu'il n'avait pas assez pour d'argent pour mettre à l'abri tous ses enfants. Voyant son désarroi, Ulrich décida de se sacrifier. Ses soeurs étaient tout, elles devaient être à l'abri. Eux les rejoindraient plus tard. Elles allaient préparer le terrain.

C’est une nuit au début de l’hiver 1936, fin du mois de Janvier que Brunhilde et sa soeur durent dire adieu à leur pays natal. Dans le plus grand secret, Werner avait organisé la fuite de ses filles, gardant son fils en Allemagne. Il n'annonça que quelques heures avant leur départ, tout était prêt, elles n’avaient plus qu’à monter dans la voiture. Brunhilde refusa catégoriquement de quitter Berlin mais son père ne lui laissa pas le choix. Voyant la peur dans les yeux de son père, l’Allemande ne put que se résoudre à faire ses bagages. Elle n’emporta qu’une petite valise à main, son violon et sa soeur en fit de même. Un bateau les attendait à Calais pour rejoindre l’Angleterre. Brunhilde n’eut que quelques instants pour dire adieu à sa famille, les larmes coulant silencieusement sur son visage. Les paysages défilaient au fil des heures, la densité de la ville s’effaçait petit à petit pour laisser place à la campagne. Ils étaient partis  en début de soirée, le soleil ne s’était pas encore levé quand ils arrivèrent à destination. La frontière n’avait posé aucun problème, les faux papiers étaient bien passés. Ils profitèrent de l’obscurité encore présente pour se faufiler dans un coin reculé du quai. Là une petite embarcation attendait ses passagers, deux jeunes femmes. Le passeur lui demanda alors de l’argent, la somme avait été convenue avec son père et Brunhilde put lui remettre sans aucun problème. Le marin fit alors le compte puis les laissa monter à bord. Il profita de la brume pour s’engouffrer silencieusement à l’intérieur. Tout le long du voyage, la jeune femme ne put s’empêcher de regarder les côtes françaises, le cœur serré. En une nuit, toute sa vie avait basculé. Brunhilde entendait sa soeur sangloter et trembler. Elle passa son bras autour d'elle et fit ce qu'elle put pour la rassurer. Elles se retrouvaient à fuir leur propre pays pour se retrouver elles ne savaient où. Si la police apprenait leur fuite, qu’allait il arriver à ses parents ? Si quelqu’un découvrait la correspondance de son père. Des images de torture, de souffrance, de mise à mort. Tout lui passa par la tête, elle ne pouvait s’empêcher de voir ces images. Ses yeux se remplissaient de larmes à ces pensées.

Après plusieurs heures de navigation, la Grande Bretagne se profilait devant eux. Le petit bateau s’arrêta à Douvres, la destination qu’on lui avait demandé de faire. Brunhilde et sa petite soeur descendirent du bateau et à peine avaient elles posé un pied sur le sol anglais que le marin fit demi-tour et retourna en France. D’autres passagers clandestins à transporter sans doute… Sur place, un homme d’une quarantaine d’années s’approcha des jeunes filles. Une fine moustache, la tenue impeccable, les cheveux châtains, un peu roux, sans aucun doute il avait l'archétype de l'Anglais. Toutefois il s’adressa aux deux femmes dans un allemand parfait. Heureusement pour Brunhilde qui ne parlait quasiment pas l’anglais, quelques rares souvenirs d'école lui restaient toutefois en mémoire. En parfait gentleman, l’homme leur prit leur valise des mains et Brunhilde garda son violon et prit la main de sa soeur. Elles montèrent dans la voiture et l’Anglais leur expliqua la situation, les semaines de correspondance avec leur père, l’organisation pour les mettre à l’abri de cette folie. Werner avait prévu que ses filles partent pour Londres, il avait estimé que l’Angleterre était un endroit sûr.

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Depuis son arrivée à Londres, Brunhilde se demanda qui elle était vraiment. A rejeter l'Allemagne, à devoir gommer son accent, apprendre une nouvelle langue le plus vite possible. Elle abandonna d’y trouver une réponse, pour s'occuper à plein temps de sa soeur et de vivre du mieux qu'elles purent. Sa vie à l’Anglaise changea radicalement. Avec son emploi de violoniste au ballet de la ville, elle avait assez d'argent pour toutes les deux. Mais elle dût prouver de nombreuses fois qu’elle le méritait. Heureusement que le directeur était un très bon ami de son père. Les préjudices sur les Allemands et l’amalgame avec les nazis, la jeune femme y avait droit depuis que la guerre a été déclarée. Avec un nom avec une aussi grande consonance germanique et aucune juive, il y avait de quoi se méfier. Mais elle était arrivée depuis longtemps, son statut de réfugié politique n'était plus à faire. De loin, elle regrettait sa vie en Allemagne malgré tout ce qu’elle pouvait entendre à la radio et toute la propagande qu’elle avait pu voir contre l’Allemagne. Chez elle, c’était les mêmes affiches, seul le nom de l’ennemi changeait. Attiser la haine, quel que soit le camp, était tout aussi malsain. Elle ne peut s'empêcher de penser à ses parents et à Ulrich, son frère jumeau. On lui avait arraché une partie d'elle, pour un pseudo racisme antisémite. Mais elle avait désormais la responsabilité de sa soeur. Même si elle est aujourd'hui majeure, elle doit tout faire pour l'aider et la protéger. Son rôle de grande soeur n'a jamais été aussi lourd à porter.

Et quand elle ne pensait pas à l’Allemagne, la jeune femme faisait tout pour ne quasiment pas se faire remarquer dans son nouveau pays, préférant faire partie des citoyens modèles, enfin plutôt des étrangers modèles. Elle faisait partie de cette petite classe moyenne qui vit comme elle peut. Même si elle pourrait avoir le plaisir de rencontrer les grands dirigeants au ballet, il valait mieux parfois se faire un peu discret. Elle est bien loin l’époque où elle passait de magnifiques soirées après les représentations… Mais sous tous ces traits négatifs, Brunhilde n’a pas vraiment à se plaindre de sa vie à Londres bien qu’elle espère un jour pouvoir retourner dans son pays natal.


Dernière édition par Brunhilde Hassmann le Ven 9 Oct - 10:14, édité 12 fois
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MessageSujet: Re: hier kommt die sonne   hier kommt die sonne EmptyJeu 8 Oct - 21:00

Bienvenue Brunhilde, j'ai hâte de lire ta fiche **

Si tu as des questions n'hésite pas on est là pour ça :D
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MessageSujet: Re: hier kommt die sonne   hier kommt die sonne EmptyJeu 8 Oct - 21:32

Merci *.*
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MessageSujet: Re: hier kommt die sonne   hier kommt die sonne EmptyVen 9 Oct - 9:31

Coucou What a Face ceci est un message pré validation XD


Alors je suis ravie que tu aies pris en compte toutes nos petites discussions sur PRD pour arriver à ce personnage qui me parait somme toute plein de promesses **


  • J'ai juste une petite remarque: les lois raciales ne s'appliquent pas tout de suite aux non-juifs mariés à des juifs, du coup son père n'a pas besoin de quitter son poste immédiatement. Par contre comme sa mère, elle, est obligée, peuvent en découler les mêmes événements (comme ça tu n'as pas à tout changer ton paragraphe

  • Autre chose: il y a pas mal de petites fautes dans ta fiche ("volo" au lieu de "vau l'eau", "cet" au lieu de "cette"...) rien de très catastrophique, mais pourrais-tu les corriger avant que je te valide? Je repasserai une fois cela fait ^^
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MessageSujet: Re: hier kommt die sonne   hier kommt die sonne EmptyVen 9 Oct - 10:15

J'ai relu et corrigé le passage père/mère, j'espère que ça sera mieux *.*
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MessageSujet: Re: hier kommt die sonne   hier kommt die sonne EmptyVen 9 Oct - 12:09

Bravo, tu es validé-e
Bienvenue à Londres



J'ai trouvé ta fiche très émouvante, particulièrement le passage où son frère se sacrifie pour ses soeurs. Merci d'avoir fait les corrections en tout cas ** j'ai hâte de trouver un lien avec toi What a Face


Te voilà officiellement parmi nous! Tu peux donc commencer par aller [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Une fois cela fait, rends-toi dans la section [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] où tu pourras ouvrir [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ainsi que [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]. Tu y trouveras des codages (liens, fiche de RP, gestion de RP) déjà tout fait si tu ne sais pas trop où chercher, et ensuite, commencer à écrire. Dans cette partie, à partir de 100 messages, tu pourras aussi demander un logement, elle est pas chouette la vie?

Mais attend, ce n'est pas tout! Tu peux également pointer le bout de ton nez dans le [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] et venir [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien], on aime toujours apprendre des nouveautés c'est cool!

Il ne me reste plus qu'à te souhaiter un bon jeu, bienvenue à Londres!
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MessageSujet: Re: hier kommt die sonne   hier kommt die sonne EmptyVen 9 Oct - 14:24

Bienvenue Brune !
Jolie fiche avec un adorable personnage, j'espère que tu te plairas parmi nous !
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MessageSujet: Re: hier kommt die sonne   hier kommt die sonne EmptyVen 9 Oct - 20:39

Merci James squee
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MessageSujet: Re: hier kommt die sonne   hier kommt die sonne EmptySam 10 Oct - 17:53

Etant donné que j'ai officiellement eu l'autorisation, je viens donc te souhaiter la bienvenue sur KC !

Je rejoins ce qu'a dit James, l'histoire et le personnage sont vraiment adorables. J'aime aussi le sacrifice du frère, j'ai trouvé ce passage particulièrement émouvant !

A très bientôt en RP, j'ai hâte qu'on parle lien ! :D
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MessageSujet: Re: hier kommt die sonne   hier kommt die sonne Empty

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