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Sujet: sebastian | tell the world i survived Jeu 10 Mai - 15:12
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SEBASTIAN EBERT
"Ben moi en général, je lui réponds 'merde'. En principe ça colle avec tout."
Je suis né-e à Berlin en 1885. Mon arrivée à Londres a eu lieu en 1940, en plein Blitz, alors que je venais de quitter les camps d'internement pour nationaux allemands, encadré par deux agents des services secrets britanniques. Cette ville m'aurait sans doute d'autant plus plu si j'avais eu l'occasion de la découvrir dans une situation moins... dramatique et délicate. Depuis le début de la guerre, ma vie a changé, je suis désormais Home Front, car dans la vie je suis chroniqueur pour le Times. Bien peu de mes confrères connaissent mon passif pour le moins embarrassant avec le Reich, et mes anciennes fonctions de général de l'Abwehr III, les services secrets de l'armée allemande. Fonctions que j'ai abjuré il y a bientôt deux ans. Côté amours, je suis veuf, depuis bientôt deux ans également - sans doute une bénédiction, ma pauvre Emma n'aurait pas supporté le chaos de l'exil, que voulez-vous, c'est ainsi. Ma tête ? Il s'agit de Christoph Waltz par odistole
Depuis son début, la guerre a-t-elle affecté ta vie directement ?
Je suppose que devoir fuir mon pays sous peine de finir la guerre un peu trop tôt avec une ou deux balles dans la caboche ou la corde autour du cou peut compter comme un effet direct. La guerre et moi sommes intimement liés depuis avant même son commencement - j'ose espérer que mes efforts pour l'empêcher ne passeront pas complètement inaperçus pour la postérité. Hélas, j'imagine que cette nouvelle guerre était inévitable, avec la façon dont s'est achevée la première - ne sous-estimez pas la force de la rancune allemande, c'est encore le meilleur moyen de finir avec un conflit mondial sur les bras. La guerre m'a tout coûté, de nombreux camarades, ma femme dans un sens, mon pays, ma liberté, tout ce qui constituait ma vie. Bien sûr que c'est aussi de ma faute. Après tout, je connais de nombreux officiers du Reich qui s'en sont tirés à bien meilleur compte en prenant... d'autres décisions de vie. Que voulez-vous, je ne supporte pas les despotes et la direction qu'à prise l'Allemagne depuis l'arrivée du NSDAP au pouvoir. Si les vieux grincheux têtus comme moi ne sont pas prêts à se jeter en pâture aux loups pour réparer le désastre sans nom causé par leurs semblables, on atteindrait le comble de la mauvaise foi. Ma vie a été mise en suspens, et n'est pour ainsi dire plus mienne, mais on m'a toujours dit que j'étais borné. Il est temps de voir si un exil aura raison de mon opiniâtreté légendaire.
Es-tu pour la victoire de la Grande Bretagne, ou préfèrerais-tu voir ce conflit s'arrêter au plus vite, avant qu'il ne s'aggrave, quitte à voir la Grande Bretagne y perdre beaucoup ?
La victoire de la Grande-Bretagne et des forces alliées n'est absolument pas négociable. Nous avons atteint un point de non-retour pour l'Allemagne, qui ne reviendra jamais sur les décisions qu'elle a prise et les politiques qu'elle a mises en place, à moins d'y être forcée par les vainqueurs de cette guerre. Le temps des négociations et des possibilités de paix est passé depuis trop longtemps. Rétropédaler maintenant serait conférer la victoire à Hitler et admettre que tout ceci n'a servi à rien. Il faut maintenant aller jusqu'au bout de ce conflit, quelqu'en soit le prix à payer - il sera toujours moindre que celui à payer si l'Allemagne et les forces de l'Axe l'emportent. La Grande-Bretagne est le dernier rempart contre mes compatriotes en Europe, elle doit tenir. Même si les pertes sont lourdes, même si le pays saigne et s'essouffle, c'est le seul moyen de ne pas tout perdre. J'ai vu ce dont le Reich était capable ; j'ai vu ce qu'il infligera à la Grande-Bretagne, à l'Europe entière, et au monde s'il l'emporte. La défaite n'est pas une option.
Quel est ton but dans la vie? Pourquoi es-tu à Londres ?
J'ai atterri à Londres après un passage de quelques mois dans le camp d'internement de Shrewsbury, où j'ai passé quelques mémorable moments à éviter de véritables espions du Reich qui m'ont reconnu et ont reçu pour ordre de me faire fermer mon clapet une bonne fois pour toutes. Heureusement, ma bonne foi a fini par convaincre les services britanniques de mon honnêteté et de l'aversion du Reich à mon égard. Je crains de les avoir un peu pris par surprise, d'où leur décision de m'expédier à Londres sous surveillance en plein Blitz en attendant de me trouver une autre utilité. Aujourd'hui, je suis à leur merci, pieds et poings liés sans autre choix que d'attendre qu'ils me convoque pour me poser des questions, sans pour le moment me donner la latitude d'action dont j'ai besoin pour réellement contre-attaquer. Entre le Reich et moi, c'est maintenant une affaire personnelle. Si je dois mener ma vendetta contre le Führer et ses sbires depuis Londres, ainsi soit-il.
DERRIERE L'ECRAN
coucou c'est moi!!
pseudo RPG
Bonjour à tous!! Je suis Zabolac, et j'ai 24 ans. Je suis agent de service client dans un studio de jeu vidéo J'ai trouvé le forum via de vieilles copines . Et puis je suis trop contente de revenir et pleine d'idées et de motivations, KC, me revoilààà
Dernière édition par Sebastian Ebert le Jeu 10 Mai - 16:24, édité 3 fois
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Sebastian Ebert
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Sujet: Re: sebastian | tell the world i survived Jeu 10 Mai - 15:13
HISTOIRE
En plus d’un demi-siècle d’existence, Sebastian a été le témoin privilégié des grands bouleversements de son époque. Une position de choix pour l’historien averti, mais usante pour qui retrouve en première ligne – surtout quand, comme lui, l’on a une tendance marquée à ne pas pouvoir s’empêcher de fourrer son nez dans les affaires des autres et de son pays. Né en 1885 à Berlin, Sebastian est le second fils de Heinrich Ebert, colonel de la Wehrmacht, et de Margarethe Welz, fille d’industriel. D’Heinrich, mort alors que Sebastian avait vingt-et-un ans, Sebastian ne garde qu’un souvenir distant, l’image d’un père strict et austère laissant le soin du foyer à son épouse, l’homme de famille rêvé taillé à l’image d’un Bismarck qu’il admirait sans réserve. Margarethe, bien ue moins froide et distante, n’en était pas moins une matriarche à la poigne de fer plus versée dans la discipline que dans les démonstrations d’affection. Un mariage arrangé et lucratif qui donna naissance à Franziska deux ans avant son jeune frère Sebastian. Un troisième enfant, Dominik, vit le jour dix ans après Sebastian.
Les Ebert, installés dans le quartier de Charlottenburg à Berlin, était une famille conservatrice issue de la plus pure tradition militaire. Dans la fratrie Ebert, Franziska, l’aînée, fut celle qui reprit le plus les valeurs familiales, menant ses cadets à la baguette – une attitude contre laquelle Sebastian s’est très tôt rebellé, mettant à l’épreuve son esprit déjà revêche et contestateur malgré les efforts de ses parents, qui ont dès lors reporté leurs espoirs sur le jeune Dominik, plus docile et malléable. Destiné très jeune à suivre les pas de son père, c’est non sans reluctance que le jeune Sebastian a rejoint les rangs de l’école militaire. Ayant lui-même des instincts de leader autant qu’une aversion certaine pour l’autorité, il s’y distingue autant par son intelligence que par ses élans de rébellion. Une intelligence redoutable et une langue bien pendue font de lui un drôle de Cyrano dans cette caserne allemande, admiré par ceux de ses camarades capables de reconnaître et apprécier son esprit, redouté et désavoué par ceux qui ne goûtent guère ses tirades et ses piques, ou sa supériorité apparemment sans effort dans les domaines requérant l’usage de cellules grises. Passionné par l’exercice de son intellect plus que par les prouesses d’armes demandées (faisant clairement montre d’un certain dédain pour les exercices physiques de combat), il finit par attirer l’attention d’un supérieur bienveillant qui l’oriente plus avant vers l’étude des langues et politiques étrangères, ainsi que l’histoire militaire. Sebastian ferait un piètre soldat de terrain, mais son potentiel de futur officier ne laisse aucune place au doute.
Sebastian grimpe progressivement les échelons, et la Grande Guerre lui offre l’occasion de mettre ses talents de tacticien à l’épreuve. De 1914 à 1918, Sebastian s’illustre tant par son opiniâtreté dans les situations difficiles, que par sa créativité et son talent certain pour tourner même les situations les plus désespérées à son avantage. Lui dont le désamour pour l’exercice n’était plus à vanter, fait preuve d’un entêtement et d’une endurance remarquables et inattendues, sans doute plus motivés par un désir de ne pas laisser le dernier mot à ses détracteurs que par réel sens du devoir ou patriotisme. Ses hommes l’affublent du surnom ‘der Fuchs’, le renard, en raison de sa sagacité et de sa ruse (que certains n’hésitent pas à qualifier de couardise). Durant ces quatre années, le paradoxe Sebastian Ebert se cristallise dans toute sa splendeur : une véritable aversion de la guerre (signe pour lui de gouvernements défaillants et affaiblis) couplée à un indéniable talent pour cette dernière, un sens de la compétition et du conflit qui ne brilleraient nulle part aussi bien qu’au cœur du plus grand conflit de l’Histoire. Être bon à quelque chose que l’on abhorre – tel serait le fardeau qu’il aurait à porter pour cette guerre, puis une autre encore.
Renvoyé à Berlin après la guerre, médaillé, et relativement épargné par les blessures graves dont ont pu souffrir certains de ses camarades, Sebastian se retrouve plongé au coeur de la République de Weimar et de la révolution culturelle qui y a lieu. Renouant avec la vie citadine, il reprend son poste d’officier et partage son temps entre la caserne de la Wehrmacht et l’enseignement à l’académie militaire. Agé de trente-cinq ans en 1920, il est promu de la Wehrmacht à l’Abwehr nouvellement créée : fort de sa maîtrise de plusieurs langues et de son esprit retors désormais réputé dans les rangs, sa candidature avait attiré l’attention de ses supérieurs cherchant alors à peupler ce nouveau service de défense et de renseignements, bien loin du champ de bataille. Il épouse dans la foulée Emma Strauss, violoniste de profession, ex-infirmière volontaire pendant la guerre, et rencontrée peu après son retour du front en 1918.
Se passionnant pour les idées nouvelles émergeant à Berlin, Sebastian se retrouve notamment à sympathiser (dans la plus extrême des discrétions, et non sans la complicité de son épouse peut-être plus radicale que lui encore) avec les idées communistes et socialistes du KPD. Restant néanmoins très critique à l’égard du parti en tant qu’institution politique, il ne le rejoint jamais se contente de s’aligner avec certaines de ses idées, notamment lors de son opposition au NSDAP lors de l’émergence de celui-ci. Comme beaucoup (trop), la première réaction de Sebastian fut de rire à l’idée de ce petit homme moustachu et ses idées absurdes accédant au pouvoir. Emma, plus fine et perceptive, est celle qui lui donne le coup de coude nécessaire pour commencer à se méfier de l’influence grandissante d’Hitler en Allemagne. C’est grâce à elle si Sebastian fait parti des opposants au parti nazi lors de la montée au pouvoir de celui-ci, et en 1933, lorsque sonne le glas d’une époque, le couple Ebert, toujours sans enfant après treize ans de mariage, sait que d’une façon ou d’une autre, leurs vies viennent de prendre un nouveau tournant.
Comprenant que s’opposer de façon ouverte aux nazis ne pourrait que le desservir, Sebastian adopte le rôle d’un subalterne modèle au sein de l’Abwehr III, spécialiste du contre-espionnage, tout en utilisant ses talents de manipulateur (et à ce stade, après près de quinze ans dans le contre-espionnage, de maître-espion) pour se mettre en relation avec des groupuscules opposés au régime, non seulement chez les civils communistes, mais aussi au sein même de l’armée – se liant avec des groupes d’officiers de la Wehrmacht de plus en plus inquiets de la menace grandissante d’une nouvelle guerre à l’horizon.
De concert avec ces derniers, et comprenant avec le temps que la guerre serait inévitable si Hitler restait au pouvoir, Sebastian utilise ses talents pour tenter d’alerter l’Angleterre et la France sur la situation dramatique en Allemagne - en vain. Les manoeuvres de Sebastian finissent par attirer l’attention de ses supérieurs, qui tentent de le mettre à l’écart. Sebastian ne doit son échappée à une sanction plus stricte qu’à l’intervention providentielle du général Canaris, chef de l’Abwehr en 1938 (et lui-même opposant secret au régime). Grâce à la protection de Canaris, son principal allié dans cette résistance au nez même du Führer, Sebastian est en mesure de poursuivre ses opérations de sabotage, aidant résistance civile et militaire en leur fournissant des informations ou en falsifiant des rapports, entre autres tâches.
Ses magouilles sont finalement découvertes en 1939, quelques semaines après la mort de sa femme – succombant des suites d’un accident de voiture aussi tragique que suspect dans ses allures d’accident, aux yeux de Sebastian. Dénoncé par un lieutenant trop zélé, il n’échappe au peloton de la mort que grâce à l’intervention d’alliés de l’extérieur ayant infiltré la prison pour l’en sortir avec d’autres camarades exposés. Il fuit immédiatement Berlin, sous couvert de la nuit et avec l’aide de passeurs plus ou moins scrupuleux, et finit par réussir à quitter l’Allemagne en échappant de justesse aux patrouilleurs SS de la frontière.
Quelques mois après son évasion de prison, il arrive sur les côtes anglaises en tant que réfugié politique. Du fait de sa carrière dans le contre-espionnage allemand, qu’il ne cherche pas à cacher aux policiers qui le repêchent sur les plages de Douvres, il est immédiatement interné au camp d’internement de Shrewsbury, et gardé prisonnier avec d’autres résidents allemands jusqu’en 1940. Durant son internement, il se distingue en collaborant avec les gardes pour démasquer les espions allemands infiltrés parmi les autres prisonniers, et gagne ainsi ses galons menant vers sa relative liberté. Il est finalement relaxé, mais envoyé à Londres sous couvert d’anonymat et gardé sous haute surveillance par les services secrets britanniques, peu désireux de voir un tel atout leur filer entre les doigts, se faire assassiner, ou passant du côté obscur de l’Histoire.
A son arrivée à Londres en plein Blitz, Sebastian est parqué dans un petit logement dans l'East End, non loin de Whitechapel les bombardements font régulièrement rage sur la capitale et le sentiment anti-allemand est à son paroxysme, si bien que l'ex-colonel se doit de dissimuler de son mieux son accent pour éviter les soupçons. La supercherie ne dure cependant pas bien longtemps et son nom aux consonances bien teutoniques fait rapidement le tour du voisinage. Alors que la situation est sur le point se dégénérer entre Sebastian et son nouvel entourage, un nouveau bombardement détruit une partie du quartier, et l'immeuble de Sebastian est réduit en poussière - fort heureusement alors qu'il était quelques rues plus loin, rentrant d'un rendez-vous de contrôle avec les services de renseignements britanniques. Il est alors relocalisé dans un hôtel comme solution temporaire, loin des tensions de son précédent voisinage.
Ce court séjour dans le West End lui permet de rencontrer un journaliste du Times, qui s'étonne de trouver un ressortissant allemand sous les bombes. Sans révéler trop de détails de son passé pour le moins controversé, Sebastian laisse entrevoir juste assez de ses vues critiques du Troisième Reich, de ses mésaventures avec la SS, et de ses talents de conteur pour piquer l'intérêt de son interlocuteur, avec qui i reste en contact par la suite. Une entrevue providentielle qui débouche, quelques semaines plus tard, sur un emploi en tant que chroniqueur dans le plus célèbre quotidien anglais. Dans le même temps, Sebastian trouve un nouveau logement au sud de la Tamise - et vit là le reste du Blitz, partageant son temps entre nouveaux bombardements, rédaction de chroniques aussi acérées qu'approfondies et parfois hypocrites (après tout, être un rebelle au régime hitlérien ne signifie pas devoir approuver toutes les décisions de Churchill), et regards par-dessus son épaule - histoire de s'assurer qu'aucun couteau traître ne vienne s'y planter.
Aujourd'hui le Blitz est terminé, mais la guerre est loin de l'être - Sebastian en est bien conscient et s'est préparé à rester à Londres le temps qu'il faudra, rongeant son frein en attendant qu'on l'autorise enfin à reprendre sa guerre à lui pour un pays qu'il voit filer vers le désastre.
Dernière édition par Sebastian Ebert le Ven 1 Juin - 20:49, édité 3 fois
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Sebastian Ebert
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Sujet: Re: sebastian | tell the world i survived Jeu 10 Mai - 15:14
+1 mais vraiment au cas où, je doute d'en avoir besoin, les fiches de 23 pages c'est terminé
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Victoria Irvin
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Sujet: Re: sebastian | tell the world i survived Sam 12 Mai - 14:20
lâche toi, personne te jugera XD
j'ai hâte de lire!!!
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Emcee Circus
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Sujet: Re: sebastian | tell the world i survived Sam 12 Mai - 14:40
(re) Bienvenue sur le forum.
Je passerais te voir pour un lien entre allemand en exil (bon même si Emcee assume pas), je pense qu'un lien pourrait être à voir.
Bonne rédaction.
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Rose Mathewsen
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Sujet: Re: sebastian | tell the world i survived Sam 12 Mai - 20:15
Re-bienvenue à toi !!!
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Sebastian Ebert
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Sujet: Re: sebastian | tell the world i survived Mer 23 Mai - 23:32
Merci vous trois pour votre accueil
Je suis en bonne voie sur la fin de mon histoire, on a juste eu de gros imprévus au boulot donc j'ai fait heures sup' sur heure sup'. En anticipation, est-ce que ce serait possible d'annoncer que je finirai ma fiche ce dimanche ? Il me manque plus grand chose, je suis juste pas sûre de pouvoir écrire demain et vendredi donc je préfère être prévoyante
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Victoria Irvin
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Sujet: Re: sebastian | tell the world i survived Ven 25 Mai - 20:03
Aucun problème!!! J'ai hâte de lire **
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Victoria Irvin
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Sujet: Re: sebastian | tell the world i survived Mar 29 Mai - 22:10
Bravo, tu es validé-e
Bienvenue à Londres
SEBOOOOOOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU
Ca fait tellement plaisir de le retrouver (et surtout de TE retrouver) ** Les fiches courtes c'est bien aussi pour les personnes qui valident, tu sais
J'ai trop trop hâte qu'on se trouve des liens ** tu me donnes envie de refaire Caro (mais on sait que c'est pas une bonne idée XD)
Je te valide mais je te laisserai rajouter le petit passage sur 1941 dont on avait parlé ;)
Te voilà officiellement parmi nous! Tu peux donc commencer par aller réserver ton avatar. Une fois cela fait, rends-toi dans la section mon passeport où tu pourras ouvrir tes liens ainsi que tes RPs. Tu y trouveras des codages (liens, fiche de RP, gestion de RP) déjà tout fait si tu ne sais pas trop où chercher, et ensuite, commencer à écrire. Dans cette partie, à partir de 100 messages, tu pourras aussi demander un logement, elle est pas chouette la vie?
Il ne me reste plus qu'à te souhaiter un bon jeu, bienvenue à Londres!
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James Alistair
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Sujet: Re: sebastian | tell the world i survived Jeu 31 Mai - 19:25
Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !
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Sebastian Ebert
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Sujet: Re: sebastian | tell the world i survived Ven 1 Juin - 20:51
MERCIIIIIIIIII MES POULETTES
J'ai ajouté les paragraphes qui manquaient à la fin, merci encore de cette validation, je suis TROP contente de faire revivre ce vieux grincheux
Sur ce, je file remplir les formalités qui vont bien, et à nous le rp
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Isidore Hood
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Carnet ☎Mon coeur, mon amour: Mon cœur bat au rythme des machines à coudre et mon amour est aussi passionné que mes coups de ciseaux... ☎Politiquement vôtre: Plutôt travailliste ☎En Pagaille:
Sujet: Re: sebastian | tell the world i survived Mer 6 Juin - 23:41
SEBOUUUU !!! Il est reviendu ! (dit-il dans un français impeccable xD)
Trop heureux de retrouver le Renard ! Et Zabolac encore plus J'ai dévoré ta fiche : un passage par ta fiche de liens va s'imposer je vais affûter quelques idées