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Sujet: HOME FRONT (2) ☂ les civils engagés Jeu 3 Sep - 18:39
Les civils
Il n'y a pas que les militaires qui aident les populations, des civils aussi. Ils sont tous volontaires pour porter secours aux autres, que ce soit au travers des soins, de la nourriture, ou des compétences logistiques pour les renseignements. On salue le courage des infirmières, des femmes du WVS et on remerciera un jour les services secrets du SOE pour services rendus.
En gras, prisEn italique, réservé LILY ROSE DEPP ✓ Rose Mathewsen
ESSIE DAVIS ✓ Maud Wallace SARAH GADON ✓ Margaret Bradford MARGOT ROBBIE ✓ Natalya Andreïeva
CLAIRE FOY ✓ Vivian Avery SEBASTIAN STAN ✓ Denys Hammond
NICHOLAS HOULT ✓ Arthur Hudson
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George VI
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Sujet: Re: HOME FRONT (2) ☂ les civils engagés Jeu 3 Sep - 18:55
Rose Mathewsen
Ft. Lily Rose Depp
LIBRE▲ RÉSERVÉ ▲ PRIS
18 ans Célibataire Anglaise Infirmière
Histoire
Rose, 18 printemps, en aurait presque oublié son prénom car depuis qu’elle a commencé son entrainement d’infirmière, elle ne répond plus qu’à « Nurse Mathewsen ». Plus jeune d’une fratrie comprenant ses deux frères ainés et elle, elle a très peu de souvenir de sa vie avec ses parents, ne sachant qu’une chose : sa mère est décédée alors qu’elle était encore très jeune, et son père ne sachant pas comment les élevés, a confié sa fratrie à ses propres parents. Rose n’a pourtant pas à se plaindre, elle a eut une enfance heureuse. Sa grand-mère a toujours insisté sur l’importance de l’éducation et des bonnes manières pour la jeune fille, après tout, c’est ainsi qu’elle-même s’est fait remarquer de son époux malgré son passé d’institutrice d’une différente condition sociale. Son ambition pour sa petite fille est qu’elle suive ses traces, épousant à son tour un homme riche qui la mettra à l’abri du besoin pour toujours et à qui elle donnera de beaux enfants.
Pour cela, Rose part en pension comme toutes les jeunes filles de son âge. C’est là-bas, lors des cours d’histoire sur la Première Guerre, qu’elle comprend l’intérêt d’avoir eu des infirmières militaires. Cela lui donne bien des idées. Idées que sa grand-mère tente tant bien que mal de lui sortir de la tête. Mais rien n’y fait, et le début de la guerre n’y change pas grand-chose, bien au contraire. Alors qu’elle va fêter ses dix-huit ans, elle s’inscrit à l’école d’infirmière. Le début de la guerre accélère tout, et elle se retrouve très vite à être formée sur le tas, comme toutes les jeunes filles ayant fait la même chose qu’elle. Sa grand-mère tente tant bien que mal de l’en dissuader et lui rend souvent visite, mais rien n’y fait. Rose ne comprend pas pourquoi, si ses frères servent, elle ne pourrait pas en faire autant. En désespoir de cause, Mrs Mathewsen n’a qu’une option, aller voir le père de Rose et lui demander de ramener sa fille à la raison, ça serait bien la moindre des choses de sa part !
Liens
CHARLES MATHEWSEN
Rose se souvient de son enfance heureuse avec ses parents, avant que le décès de sa mère, malade, ne change tout. Son père fut incapable de s'occuper de trois enfants et dut les confier à ses parents. Rose vécut cela comme un déchirement, même si sa grand-mère était une femme adorable et prévenante. Charles venait leur rendre visite de temps en temps mais ce n'était plus comme avant. Avec la guerre approchant, les visites paternelles se firent plus rares. Alors quand Rose intègre l'école d'infirmière et se retrouve projeter à Londres alors que sa formation est à peine terminée. Sa grand-mère désapprouve ce comportement et demande à Charles d'y remédier. Et voici le père et la fille à nouveau réunis mais Charles a bien du mal à se rendre compte qu'elle n'est plus une enfant. Et cela encourage Rose à montrer qu'elle a grandi et qu'elle peut suivre ses choix …
HARRY O'NEILL
Comment ne pas tomber sous le charme du Docteur O’Neill ? Avec ses grands yeux et son sourire enjôleur, la moitié des infirmières de l’hôpital ont un faible pour lui. Ce n’est pas bien difficile, il est adorable, galant… Et Rose ne fait pas exception à la règle. Du haut de ses dix-huit ans, elle adore travailler avec lui, non seulement parce qu’il est joli garçon, mais aussi et surtout parce qu’il ne la traite pas comme une enfant. En terme plus contemporain, elle serait sa fan numéro 1. Harry, loin de s’en apercevoir, apprécie le sens du professionnalisme et l’envie d’apprendre de la jeune fille, bien loin des autres infirmières qui minaudent devant lui et sont plus embêtantes qu’autre chose. Le travail avant tout.
JEANNE DE BASSAL
Ces deux-là se sont trouvées. Il aurait été difficile de faire autrement, leurs caractères étant similaires et complémentaires. Si Jeanne est un peu plus effrontée que la timide Rose, cette dernière a bien plus de patience. Dans ces heures sombres où les rires se font rares, les deux jeunes filles redonnent le sourire aux jeunes militaires blessés et malades par leur joie de vivre et leur caractère positif. Mais il vaudrait mieux ne pas oublier de rester concentré sur son travail.
Dernière édition par George VI le Sam 12 Sep - 13:54, édité 7 fois
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Sujet: Re: HOME FRONT (2) ☂ les civils engagés Jeu 3 Sep - 19:00
Maud Wallace
Ft. Essie Davis
LIBRE ▲ RÉSERVÉ ▲ PRIS
48 ans Mariée Anglaise Fondatrice du WVS
Histoire
Née en 1892 au Caire, d’un père archéologue et professeur à l’université d’Oxford, Maud bénéficie de tuteurs privés à cause de sa santé fragile supportant mal le climat humide de la capitale égyptienne. Souffrant de maux de dos aggravé par l’humidité, elle passa de longs mois au lit pendant ses jeunes années. Cela influença son éducation, qui ne fut pas tout à fait aussi stricte que celle des jeunes gens de cette époque. Sans doute cela joua sur le caractère pratique, et autoritaire de la jeune femme, habituée à devoir négocier pour avoir ce qu’elle voulait depuis son lit de malade, et l’obtenant presque toujours. De retour en Angleterre à l’adolescence, elle finit son éducation dans un pensionnat pour jeunes filles. C’est au cours des différentes soirées organisées par les parents de ses amis qu’elle rencontre Lord Irvin, Marquis de Conway, propriétaire terrien gallois. Le jeune homme, archétype des jeunes gens de son époque, fait la cours à Maud et l’épouse assez rapidement. Le mariage n’est que classe et élégance britannique, teinté d’un rien de retenu, malgré les exubérances des amis de régiments de Lord Irvin. Mais les jeunes époux ont à peine le temps de véritablement faire connaissance et de s’habituer l’un à l’autre que déjà, la Première Guerre Mondiale éclate, et Lord Irvin se doit de répondre à son devoir d’officier de cavalerie. Ce sont dix-huit longs mois que Maud passe, inquiète, s’occupant comme elle peut. C’est à cette époque qu’elle se rapproche des mouvements de suffragettes déjà présent avant la Guerre et s’intensifiant pendant celle-ci. Fin 1915, Irvin revint, blessé, inapte au combat pour plusieurs mois. Neuf mois plus tard, elle donne naissance à leur seule fille, Victoria. Cela n’empêche pas Maud de continuer à s’intéresser à tout ce qui se passe autour d’elle, et, une fois la guerre finie, elle veut agir. Pourtant, cela ne plait guère à son époux, qui pensait avoir épousé une jeune femme effacée, bien comme il faut, et ne faisant pas de vagues.
L’ambiance dans le couple se délite, et ils décident de se séparer, Maud déménageant à Londres dans la maison des Conways, et Lord Irvin ne s’y rendant que pour ses affaires. Elle ne voit sa fille qu’occasionnellement, en tant qu’héritière de son père, celui-ci en obtient la garde sans difficulté. Quelques années plus tard, tous deux décident de refaire leur vie de leur côté. Ils divorcent officiellement. Maud épouse alors George Wallace, jeune politicien prometteur. Grâce à leurs carnets mondains respectifs, ils deviennent rapidement le couple montant, influent et présent partout. Ils s’entendent bien mieux sur différents points, et, en 1938, alors que le Home Secretary (ministre de l’intérieur) fait appelle à Maud Wallace pour fonder le Women Voluntary Service, elle reçoit le soutien total de son époux. Cet organisme a pour but d’aider la protection aérienne, reloger et revêtir les victimes des futurs bombardements, évacuer les populations à risques (enfants et femmes enceintes) des villes, et toute une série de tâches similaires. Cela l’occupe énormément, et, quand la guerre éclate, bien que le corps n’ait pas encore atteint le nombre qu’elle s’est fixée, ses recrues sont prêtes. Et elle ne compte pas s’arrêter là.
Personnage inspiré de la photographe Stella Reading (fiche wiki : https://en.wikipedia.org/wiki/Stella_Isaacs,_Marchioness_of_Reading ), ces informations sont là au but d’indications et ne forcent pas du tout le joueur à suivre à la lettre l’évolution de Stella Reading.
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GEORGE WALLACE
Épouser une femme divorcée n’est pas forcément la meilleure chose à faire quand on est un jeune politicien carriériste de l’Angleterre des années 20. Et pourtant, ce qui attira George Wallace chez Maud Irvin, se ne fut pas seulement son charme et sa beauté, mais aussi son carnet mondain. Il l’avait bien comprit à l’époque, divorcée ou pas, Maud était une femme qui comptait. De son côté, Maud a tout de suite vu en cet homme ambitieux une aide, et non un frein, à sa propre ambition et conception de l’avenir. Ils étaient parfaitement complémentaires. Maud lui donna une fille, en 1925, stabilisant ainsi leur union. Aujourd’hui encore, ils sont d’un soutien sans faille l’un à l’autre, chose indispensable en cette période troublée.
MARGARET BRADFORD
Lady Wallace a tout de suite perçut le potentiel de Margaret. Intelligente, fine, organisée… Elle est exactement le genre de femme que Maud était elle-même quand elle avait son âge. Il n’est guère étonnant que les deux femmes se soient rapidement rapprochées. L’idée de la création du Women Voluntary Service de Maud emballe tout de suite Margaret, qui y voit un moyen de s’investir encore plus et de servir. Elle est un excellent bras droit pour Maud qui a bien besoin d’aide à la tête de l’organisation qui s’étend rapidement dès le début de la guerre. Néanmoins, depuis le décès de son époux, Margaret semble ne trouver de salut qu’à travers l’organisation, ce qui inquiète Maud. Si elle craque, elle risquerait de mettre le WVS en péril.
THEODORE III JOLIFFE
Ces deux là sont amis, complices… La rumeur veut même qu’ils aient un temps été amants après que Maud se soit séparée de son premier mari, mais cette rumeur n’engage que ceux qui y croient. Ils ont bien plus d’ambition que cela. Alliés politiques bien plus qu’amis, leurs idées se complètent et tournent autour d’un même but : préserver leur rang et leur statut. Il n’en fallait pas beaucoup plus, Maud ayant une fille de son premier mariage avec Lord Irvin, et le baron Hylton ayant un fils sensiblement du même âge, pour décider d’unir leurs deux familles. Il s’agirait presque du projet de leur vie.
Dernière édition par George VI le Ven 22 Juin - 9:50, édité 5 fois
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Sujet: Re: HOME FRONT (2) ☂ les civils engagés Jeu 3 Sep - 19:04
Margaret Bradford
Ft. Sarah Gadon
LIBRE ▲ RÉSERVÉ ▲ PRIS
28 ans Veuve Anglaise Femme de lettres, membre du WVS
Histoire
Née dans une famille bourgeoise, la jeune Margaret reçut une excellente éducation, dans une ambiance littéraire de la haute société. Avec un père écrivain et une mère descendante d'une femme connue pour son implication dans la vie intellectuelle de la société du début de siècle, ancienne modèle de peintre. A son tour, Margaret prend la plume, par son talent et les relations de son père, la jeune femme est publiée pour le supplément littéraire du Times. Puis elle se lance dans l'écriture de nouvelles qui sont publiées et rencontrent un bon succès auprès du public britannique. A dix neuf ans, elle fait un beau mariage, bien qu'arrangé, avec Thomas Bradford, baron, et Major du Royal Tank Regiment. Le couple s'entend bien et s'attache l'un à l'autre rapidement, Margaret est une personne spirituelle, très sensible alors que Thomas est plus terre à terre et solide. De leur union naissent deux enfants où la jeune femme reproduit l'éducation qu'elle a reçu.
En 1938, son amie Lady Wallace lui propose de la rejoindre dans son projet de création du Women's Voluntary Service pour aider les gens dans le besoin. Ce nouveau projet l'emballe et l'inspire dans ses romans où elle met à l'honneur ces femmes de bonnes familles face aux miséreux. Quand la guerre arrive, Margaret se porte volontaire pour déplacer les enfants loin de Londres et des villes sensibles. Elle est aussi obligée de se séparer de ses enfants, ce qui la déchire et la fragilise. Lorsque son époux s'en va pour la bataille de Dunkerque, Margaret se plonge dans son volontariat en tenant parfois un magasin de vêtements d'urgence ou à faire des allers-retours dans la campagne. Malheureusement, son mari décède dans l'exercice de ses fonctions. Affaiblie, Margaret tient le coup grâce à son entourage et l'écriture, elle est un véritable modèle de dignité et de force, même si c'est une femme très fragile et prise dans ses tourments.
Liens
JAMES ALISTAIR
S'il fallait un modèle féminin dans la littérature, James citerait sans hésiter Margaret Bradford. Il admire son style d'écriture, a dévoré ses romans et lorsqu'il eut l'occasion de la rencontrer, il avait davantage l'air d'un petit garçon intimidé qu'à un brillant écrivain, ce qui amusa fortement la jeune femme. Bien qu'elle soit plus jeune que lui, Margaret sert de mentor à James pour l'aider dans son second roman, l'aider à se focaliser sur une idée, et à lire les quelques jets qu'il fait. Avec le décès de son époux, parler d'écriture et avoir James aide la jeune femme à se remettre petit à petit. Se plonger dans le travail lui fait du bien et elle mûrit une idée qu'elle voudrait soumettre à James : mettre son deuil dans un roman …
MAUD WALLACE
Lady Wallace a tout de suite perçut le potentiel de Margaret. Intelligente, fine, organisée… Elle est exactement le genre de femme que Maud était elle-même quand elle avait son âge. Il n’est guère étonnant que les deux femmes se soient rapidement rapprochées. L’idée de la création du Women Voluntary Service de Maud emballe tout de suite Margaret, qui y voit un moyen de s’investir encore plus et de servir. Elle est un excellent bras droit pour Maud qui a bien besoin d’aide à la tête de l’organisation qui s’étend rapidement dès le début de la guerre. Néanmoins, depuis le décès de son époux, Margaret semble ne trouver de salut qu’à travers l’organisation, ce qui inquiète Maud. Si elle craque, elle risquerait de mettre le WVS en péril.
OLIVER RYAN
Lorsque ce jeune garçon vint lui annoncer la mort de son mari, Margaret sentit le monde s'écrouler autour d'elle. Et ce fut Oliver, bouleversé aussi, de soutenir la jeune veuve et l'allonger sur le sofa, s'occuper d'elle et lui tenir la main. Margaret demanda à le revoir quelques jours plus tard, elle avait envie de savoir ce qu'il s'était passé. Puis Oliver est devenu un invité régulier de la maison Bradford, pour parler avec la jeune femme. Ou plutôt presque se faire materner : il faut dire que le jeune soldat a des traits similaires avec son défunt mari et est bien trop jeune pour retourner au combat, elle prend donc soin de lui, le nourrit, le loge quand il le peut et a envie de l'aider. Oliver se sent un peu gêné mais apprécie qu'on s'occupe de lui malgré tout, sans pour autant prend ses aises.
RUSSELL GRANT
Invitée régulière de son émission, Margaret est une des personnalités préférées de Russell, par sa douceur, sa culture, ses inspirations et ses bons mots. Quand elle se trouve sur son plateau, l'animateur sait à coup sûr que son émission sera passionnante ! Les deux ne cessent de se renvoyer la balle par des arguments construits et si bien dits. Hors antenne, Margaret est aussi devenue une de ses amies et il admire son engagement, tout autant qu'elle d'ailleurs !
Dernière édition par George VI le Jeu 2 Mar - 12:17, édité 11 fois
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Sujet: Re: HOME FRONT (2) ☂ les civils engagés Jeu 3 Sep - 19:11
Natalya Andreïeva
Margot Robbie
LIBRE ▲ RÉSERVÉE ▲ PRISE
27 ans Mariée officiellement Russe Ambulancière
Histoire
Natalya, appelée par tous Natasha, n'a que très peu de souvenirs de sa vie en Russie, à part qu'elle était heureuse. De haute aristocratie, son père demeurait dans l'entourage proche du tsar Nicolas II et toute la petite famille vivait dans le luxe et l'opulence. Enfin, ce fut le cas jusqu'en 1917, avec la Révolution russe. Comme beaucoup de membres de la noblesse, les Andreïev décidèrent de quitter leur pays. Malheureusement, le père ne survécut pas à cet exil, attrapés par des révolutionnaires alors qu'il montait dans la voiture. Cela traumatisa la petite fille qui gardera toujours une grande phobie de la foule. Tout quitter direction la France, puis l'Angleterre. Pour garder un certain niveau de vie, ils avaient emmené tout ce qu'ils avaient de précieux : tableaux, bijoux, fourrures, toilettes ... De quoi vendre et paraître en somme. Beaucoup de russes avaient émigré à Londres, formant un cercle de bonne société où il fallait paraître. Tous les petits Andreïev continuèrent de grandir dans un lux certain, à fréquenter les bonnes écoles et autres country club. La mère se remaria après quelques années, pour conserver son standing.
La jeune femme grandit, devint une belle jeune femme, un peu futile, excellente joueuse de tennis qui avait pour but de trouver un bon parti, et c'est dans la grande famille Jolliffe, épousant un neveu d'un éminent membre de la Chambre des Lords. Seulement voilà, Henry est du genre flambeur, un peu volage et malgré leur bonne entente au départ, et leur mariage en 1937, ils se séparent quelques semaines avant la guerre. Seulement, il faut continuer à faire bonne figure puisque l'époux est envoyé au front. Le soir du Blitz, Natasha se trouve dans l'East End avec sa belle-mère pour aider les plus démunis, au coeur des bombardements. Sans réfléchir, voyant un ambulancier blessé et ayant appris à conduire avec son mari passionné d'automobile, la jeune femme prend le volant. Enfin, elle trouve un sens à sa vie : risquer la sienne presque tous les soirs pour sauver des vies. Un rythme éprouvant mais Natasha est une battante, adieu la fille superficielle et vive l'engagée !
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GARRETT RUTH
Ils ne font que se croiser. Régulièrement, quand Natalya est appelé sur le lieux d'un bombardement, elle voit cette silhouette dans les décombres. Elle est plutôt reconnaissable, encore jeune, grand. Garrett a aussi repéré la jeune femme de son côté, bien trop jolie pour ce genre de travail fastidieux. Natalya, qui le prenait tout d'abord pour un bon samaritain, commence à se poser des questions: elle le retrouve toujours dans les quartiers chics alors que, soyons honnêtes, il n'en a pas vraiment l'allure. Garrett devrait se méfier.
RUSSELL GRANT
La première fois qu'ils firent équipe, on ne peut pas dire que ce fut de grandes effusions. Entre le sarcastique animateur radio et l'aristocrate russe, le courant passa assez mal, mais on ne choisit pas ses équipiers alors ils durent faire avec. Alors qu'un soir, Russell lança une vanne à la jeune femme et que celle-ci lui répliqua sans sourciller qu'ils comprirent qu'ils étaient de la même trempe. Finalement, le tandem fonctionnait bien et dans les moments les plus difficiles, seul l'humour pouvait aider à la faire tenir...
THEODORE III JOLLIFFE
Depuis qu'elle a épousé le neveu de Théodore, il est devenu l'oncle par alliance de la jeune femme. Dans son attitude, sa façon de parler, Natasha y retrouvait un peu son père, et le Lord était plus que ravi d'avoir une nièce comme elle, aussi distinguée et adorable. Le seul point négatif entre eux, c'est son engagement en tant qu'ambulancière. Theodore n'approuve pas cette lubie, qu'elle risque sa vie pour pas grand chose, et Natasha envenime les choses en répondant toujours avec ses arguments. Alors ils évitent le plus souvent d'en parler, et leur relation presque de père-fille s'en trouve sauvée.
Dernière édition par George VI le Mer 12 Oct - 19:47, édité 9 fois
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George VI
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Sujet: Re: HOME FRONT (2) ☂ les civils engagés Jeu 3 Sep - 19:13
Vivian Avery
Ft. Claire Foy
LIBRE ▲ RÉSERVÉ ▲ PRIS
29 ans Célibataire Anglaise Cartographe, agent du SOE France
Histoire
Elle a beau être de parents anglais, Vivian naît en Nouvelle-Zélande en 1911, et mène une vie peu commune. En effet, son père est un grand géographe et aventurier, ayant emmené sa famille avec lui dans ses péripéties, ne revenant en Angleterre que pour exposer ses recherches et raconter ses récits, ce qui fait de grands romans à succès. Puis la famille s'installe finalement à New York alors qu'elle a dix ans. Intelligente, curieuse, l'enfant a pour ambition de mener la même vie que son père, qui l'encourage, espérant ainsi avoir une compagne de voyage. Mais en attendant, elle est obligée de mener une scolarité plus classique, et attendre le retour de son paternel, qui lui envoie de longues lettres. C'est une petite fille survoltée, qui a bien du mal à tenir en place et se concentrer quand elle ne comprend pas. Après son baccalauréat, elle décide de prendre une année sabbatique et de partir avec son père à l'aventure, puis les deux font un pacte : chaque été, il l'emmènerait en voyage avec lui. Vivian part donc à Londres où elle entame des études de géographie, avant de les continuer en France pendant deux ans.
Après l’accession d’Hitler au pouvoir en 1933, elle voyage à Vienne et à Berlin, où elle assiste à des scènes antisémites, qui seront à l’origine de son engagement. De retour à Londres, elle continue chaque été de voyager, et a pour l'habitude de prendre des photos et cartographier les lieux qu'elle visite, ses travaux sont appréciés de ses professeurs qui admirent sa technique. Son diplôme en poche, Vivian continue ses recherches et donne régulièrement des conférences, sur ses voyages, parfois en tandem avec son père, et s'attelle à créer en maquette ses propres cartes. Bien sûr, cela ne l'empêche pas d'avoir une vie sociale, loin de là ! Sportive, elle pratique le football, aime vivre mais en tant que passionnée, il est vrai que son travail lui prend beaucoup de temps. Lorsque la guerre éclate, de par ses capacités de cartographe et parler français et allemand, les services secrets britanniques la repèrent et lui proposent d'intégrer le SOE (Special Operations Executive), ce que Vivian s'empressent d'accepter durant l'été 1940, le premier où elle ne part pas … Elle s'occupe du territoire français, connaissant notamment Paris et Lyon, et s'occupe de la radio. Engagée, la jeune femme est plus que motivée de ses nouvelles fonctions.
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DENYS HAMMOND
Ils font tous deux parti des tous premiers agents recrutés, début juillet 1940, juste avant l’ouverture officielle de cette nouvelle institution un peu plus tôt. A peine recrutés, tous deux ont été envoyés en Écosse, dans une base secrète de l’armée, où chaque agent se doit d’être formé et entrainé. Ils ne se connaissaient pas avant, et, bien qu’ils ne travaillent pas pour la même branche de l’organisation, ont assez vite sympathisé, quoi que fort différents par leur caractère. Denys et Vivian se sont entraidés tout au long de cet entrainement de choc qui a duré un mois, à courir, tirer, escalader… Un véritable entrainement commando qui leur laisse présager leur avenir au sein de l’organisation, celui sur le terrain.
ARTHUR HUDSON
Deux grands amoureux du voyage et des horizons ne pouvaient pas banalement se rencontrer à Londres. Non, eux ont préféré se rencontrer en Grèce il y a environ 5 ans, elle pour cartographier des villes avec son père, lui à jouer les archéologues/reporter. Ravie de voir un compatriote si loin de leur île, les deux se sont rapprochés et ont sympathisé, Vivian faisait baver d'envie avec ses nombreux voyages. Une fois retournés à Londres, ils continuent de se voir, à refaire le monde, à s'amuser, se confier. D'excellents amis et confidents, et d'ailleurs, ils ont un projet fou à la fin de la guerre : faire un tour du monde tous les deux !
KAROL TOMASZ
Alors qu'elle avait poussé son voyage jusqu'en Pologne en 1934, Vivian avait besoin envie de prendre un peu de hauteur pour ses travaux. La chance la poussa à rencontrer Karol, jeune pilote dynamique et prêt à enfreindre un peu le règlement pour les yeux de la jeune femme. Ils ont donc survolé quelques villes pour que Vivian puisse prendre des photos et des notes. Il lui fit visiter la ville et tous les coins de Varsovie. S'il a une idée derrière la tête ? Bien sûr … Après cette brève idylle sans lendemain, Vivian repart pour l'Angleterre, en oubliant quelques notes et photos chez Karol. Avec la guerre et l'arrivée du polonais sur le territoire, Vivian espère retrouver ses documents, qui pourraient s'avérer intéressant pour le SOE. Et à la jeune femme de lui montrer la ville et l'aider dans Londres !
Dernière édition par George VI le Jeu 18 Oct - 15:38, édité 4 fois
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Sujet: Re: HOME FRONT (2) ☂ les civils engagés Sam 19 Déc - 12:58
Denys Hammond
Ft. Sebastian Stan
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33 ans Célibataire Écossais Agent du SOE Allemagne
Histoire
Denys est né dans les Highlands écossais en 1905. Apparenté au clan Stirling par sa mère, il grandit dans les traditions, et bénéficie en même temps d’une éducation soignée en partie due à son père pasteur. Ses brillants résultats, associés au grand nom de la famille, lui permettent d’entrer à l’université de Saint Andrews avec une bourse importante, chose que les revenus moyens de ses parents ne lui auraient pas permis autrement. Il se passionne rapidement pour l’étude de la littérature, mais aussi de la langue allemande. Son père ayant été mobilisé comme aumônier, il a ramené beaucoup d’histoires de pardon et de compréhension face à l’ancien ennemi allemand.
Denys a su écouter son père et finit même par trouver un travail d’assistant professeur d’études de lettres anglaises à l’université d’Innsbrück, en Autriche, où il reste pendant quatre ans. Mais la montée du nazisme se fait sentir. A l’époque, déjà, de part son jeune âge, sa position de moitié professeur, le rapprochant des milieux étudiants malgré sa nationalité, les services secrets britanniques l’avaient déjà approchés pour tenter de le pousser à intégrer un cercle nazi et leur apporter le plus d’informations possibles, le roi Edouard VIII alors au pouvoir étant proche d’Hitler, cela n’aurait surpris personne de voir un britannique s’intéresser aux nouveaux mouvements allemands. Comme beaucoup d’Européens, Denys ne pensait pas que cela irait aussi loin aussi avait-il repoussé l’offre. Finalement, l’Anschluss et le danger commençant à monter pour les étrangers – en plus des juifs – forcent Denys à faire ses bagages et à rentrer en Écosse.
De retour chez ses parents, il lui est impossible de trouver du travail, dans aucune université, celles-ci faisant peu confiances aux germanophiles en ces temps troublés. Denys est empli de désarroi. Que faire ? Il ne sait rien d’autre que l’allemand, sa littérature et la littérature anglaise. Hélas, tous les postes pouvant correspondre à son profil pour la littérature anglaise lui sont refusés à cause de son passé en Autriche, et aucune université ne se risque à recruter de nouveaux et jeunes professeurs inconnus en Angleterre pour leurs postes d’études d’allemand et de littérature germanique. Quand la guerre éclate, Denys, ne pouvant se dérober, se rend comme tout le monde au bureau de conscription. C’est alors que les services secrets se rappellent à son bon souvenir. Ils ont besoin de quelqu’un pour une section spéciale du SOE, une section qui pourra tout changer pendant la guerre : des espions, connaissant l’Allemagne, l’Autriche, des gens sur place. Le milieu universitaire, par excellence, recèle certes beaucoup de gens appuyant le régime nazi, mais aussi beaucoup d’opposants. Le but ? Créer une véritable résistance sur place, mais cela doit rester secret, totalement ; tout le Reich est ennemi, on ne peut compter aucune résistance parmi ses rangs, officiellement. Denys ne sait pas encore trop dans quoi il vient de s’engager et sa mission est encore très vague, mais une chose est sûre, c’est plutôt risqué.
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VIVIAN AVERY
Ils font tout deux parti des tous premiers agents recrutés, début juillet 1940, juste avant l’ouverture officielle de cette nouvelle institution un peu plus tôt. A peine recrutés, tous deux ont été envoyés en Écosse, dans une base secrète de l’armée, où chaque agent se doit d’être formé et entrainé. Ils ne se connaissaient pas avant, et, bien qu’ils ne travaillent pas pour la même branche de l’organisation, ont assez vite sympathisé, quoi que fort différents par leur caractère. Denys et Vivian se sont entraidés tout au long de cet entrainement de choc qui a duré un mois, à courir, tirer, escalader… Un véritable entrainement commando qui leur laisse présager leur avenir au sein de l’organisation, celui sur le terrain.
FEDERIKA STEIN
Innsbrück, Autriche, 1938. Dans la classe du professeur assistant Hammond, majoritairement féminine, au vu de l’âge du jeune assistant, une élève se distingue par son pragmatisme et sa logique mathématicienne bien loin de la poésie des vers d’Heine : Federika Stein. Depuis le début du semestre, la jeune femme ne cesse de relever les analyses littéraires de ses camarades d’un pragmatisme qui étonne Denys, le forçant à trouver les bonnes réponses à ces questions qu’il ne s’était jamais posées. Cela débouche souvent sur des discussions animées entre le professeur et l’étudiante en fin de classe. Il la trouve agaçante et en même temps intéressante, elle le pense intelligent mais trop passionné. Mais à la fin du semestre, la jeune femme a disparu. Si Denys en est étonné sur le coup, il pense rapidement à autre chose. Ce n’est qu’au milieu de l’année 1940, dans l’un des centres londoniens abritant ces réfugiés juifs venus de toute l’Europe, alors qu’il cherche d’anciens collègues que Denys retombe sur son ancienne étudiante, elle-même à la recherche de sa famille. Quelle triste époque.
HENRI DE BASSAL
Denys et Henri se sont rencontrés dans l’un de ces clubs, où officiers et intellectuels se retrouvent. Bien que Denys ne soit pas officiellement militaire pour préserver sa mission, il y a ses entrées, on se doute que, comme les autres, il fait « quelque chose », ce qui pique la curiosité d’Henri, n’aimant pas ne pas savoir. Les deux hommes ont assez vite vu qu’ils avaient des atomes crochus, et il faut bien s’amuser en temps de guerre. Bien que Denys connaisse mal la capitale, il prend sur lui de la faire découvrir à son nouvel ami, avec lequel il reste malgré tout très secret. Ces expéditions nocturnes donnent parfois lieu à des situations cocasses.
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George VI
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Sujet: Re: HOME FRONT (2) ☂ les civils engagés Mer 12 Oct - 19:50
Arthur Hudson
Ft. Nicholas Hoult
LIBRE ▲ RÉSERVÉ ▲ PRIS
27ans Célibataire Anglais Brancardier
Histoire
Difficile de faire sa place dans une famille bourgeoise quand on est le cinquième garçon sur une fratrie de huit enfants. Le jeune Arthur passait davantage de temps avec ses sœurs ou plongé dans sa lecture qu'à chercher, en vain, l'affection de ses parents. Un père médecin et une mère directrice d'un orphelinat, ils avaient bien à faire de leurs journées, les enfants furent confiés à des nourrices et diverses gouvernantes. Le jeune garçon ne s'est finalement épanoui qu'à partir du pensionnat où il a pu vivre dans une société plus convenable et surtout pouvoir s'exprimer. Loin d'être bête, il avait passé son enfance dans les livres de géographie et à essayer de comprendre les tragédies shakespeariennes, il n'avait juste eu personne avec qui partager ses théories. Il se rêvait à explorer le monde, devenir un reporter éloigné, ou peut être archéologue, il ne savait pas vraiment encore, mais il rêvait de partir, de quitter Londres et l'Angleterre. Après des études de géographie et d'histoire, il arrive à intégrer une équipe de fouille en Grèce, et rédige des articles à ce sujet, ainsi qu'un récit de voyage.
Lorsqu'il revient en 1939, la guerre éclate peu de temps après. Le docteur Hudson, son père, refuse que ses fils deviennent tous de la chair à canon, il en a un médecin qui ne combattra pas et un émigré aux États Unis. Pour les trois autres, l'affaire se complique : deux sont enrôles. Quant à Arthur, il présentait les premiers signes de la tuberculose et se fait réformer. Il n'en était rien, mais la médecine de l'époque ne peut pas être tout à fait fiable. Son père veut l'envoyer aussi aux Etats Unis mais il refuse, et s'enrôle comme brancardier, car il veut tout de même servir son pays. Il a vécu la triste bataille de Dunkerque, et fut muté à l’hôpital. La plupart de ses nuits, il les passe dans l'ambulance à ramasser des blessés. Et quand il a quelques moment de libre, il essaie d'oublier les horreurs par les livres, mais aussi la danse et l'alcool, ça marche aussi !
Liens
VIVIAN AVERY
Deux grands amoureux du voyage et des horizons ne pouvaient pas banalement se rencontrer à Londres. Non, eux ont préféré se rencontrer en Grèce il y a environ 5 ans, elle pour cartographier des villes avec son père, lui à jouer les archéologues/reporter. Ravie de voir un compatriote si loin de leur île, les deux se sont rapprochés et ont sympathisé, Vivian faisait baver d'envie avec ses nombreux voyages. Une fois retournés à Londres, ils continuent de se voir, à refaire le monde, à s'amuser, se confier. D'excellents amis et confidents, et d'ailleurs, ils ont un projet fou à la fin de la guerre : faire un tour du monde tous les deux !
SAMUEL ANDERSON
Un brancardier et un pilote amis ? Assez improbable mais c'est Arthur qui a secouru l'australien après son accident d'avion, sauver une vie, ça rapproche. Sam a donc décidé d'avoir une dette envers son "sauveur" et les deux hommes ont appris à se connaître. Loin du séducteur et flambeur playboy, l'australien se montre authentique et peut être plus sympathique ! Mais bon, il est important aussi de s'amuser, alors quand Arthur a fini ses missions ou ne travaille pas, il sort souvent avec Sam, à boire et rire. Et parfois en journée, Arthur découvre les joies du cricket !
JEANNE DE BASSAL
Jeanne travaille souvent tard à l'hopital et même si elle n'est ni infirmière ni médecin, elle voit passer des horreurs et ne compte jamais ses heures. Quand elle vit une fois ultra fatigué, au bord de l'évanouissement, elle l'accueillit dans son bureau avec un petit thé et un gâteau, histoire de le ressourcer un petit peu. Ce n'est pas grand-chose mais à force de s'occuper des autres, Arthur oublie parfois de s'occuper de lui-même. Alors certains soirs, entre deux missions, ils papotent et se soutiennent. Après tout, ils sont dans la même galère ...